Les pays du G5 -Sahel ont approuvé la déclaration de Nouakchott sur l’Éducation au Sahel. C’était au terme du dialogue de haut niveau qui a réuni autour du président mauritanien, celui du Niger, le Premier ministre malien et des représentants du Tchad et du Burkina-Faso, en présence du vice-président de la Banque mondiale Ousmane Diagana.
« Considérez que l’école est en danger au Sahel et avec elle l’avenir du Sahel se dessine ‘’, a déclaré en substance le vice-président Diagana.
La Banque mondiale, a-t-il ajouté est prête à accompagner les pays du sahel à relever les défis du secteur de l’Éducation d’où sa satisfaction en constatant la qualité de la représentation à cette réunion.
Cet engagement des États du G5-sahel se fonde sur les constats documentés du livre blanc présenté aux travaux.
Le Premier ministre, Choguel Kokalla Maïga s’est félicité de la concordance des objectifs contenus dans le livre blanc et ceux de la Transition en cours dans le domaine de l’Éducation.
Face aux multiples défis auxquels les pays du sahel sont confrontés, l’école peut être un facteur de résolution, a souligné le Président Mauritanien, l’hôte du sommet. Un optimisme partagé par le partenaire de la Banque Mondiale qui est convaincue qu’il n’y a pas de défis insurmontables pour un esprit déterminé.
CCRP/Primature